« – Théodore, dit M. le professeur Wittembach, veuillez me donner ce cahier relié en parchemin, sur la seconde tablette, au-dessus du secrétaire ; non pas celui-ci, mais le petit in-octavo. C'est là que j'ai réuni toutes les notes de mon journal de 1866, du moins celles qui se rapportent au comte Szémioth.
Le professeur mit ses lunettes, et, au milieu du plus profond silence, lut ce qui suit :
LOKIS
avec ce proverbe lithuanien pour épigraphe :
Miszka su Lokiu,
Abu du tokiu. »
Lokis – ou la dernière nouvelle de Prosper Mérimée – à la frontière du réel et de la fantasmagorie, directement inspirée des légendes et des mystères slaves.
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