Pour Jean Lacombe, interné bien que sain d’esprit à l’hôpital psychiatrique de Melun, l’arrivée du docteur Georges Roch est un signe d’espoir. Adepte d’une médecine nouvelle et de « l’hôpital ouvert », celui-ci mène un combat d’avant-garde pour humaniser l’asile et changer la vision traditionnelle de la folie.